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Bien que les complications après une augmentation des seins soient exceptionnelles, comme pour toute chirurgie, il reste cependant quelques risques, qui seront abordés avec votre chirurgien lors de votre première consultation.

Comme avant toute chirurgie, il est important de comparer les risques et les avantages et les risques de complications des prothèses mammaires.

Il est déconseillé d’utiliser des prothèses mammaires pour les personnes présentant certaines conditions.

Cela inclut les infections non traitées, un système immunitaire faible, des problèmes de cicatrisation antérieurs, une insuffisance vasculaire, une allergie ou une intolérance aux corps étrangers. Les personnes ayant déjà tenté sans succès l’utilisation de prothèses mammaires, celles ayant des problèmes de santé au niveau des seins ou une instabilité psychologique sont également concernées.

Une communication ouverte avec le chirurgien est ainsi essentielle pour comprendre ces risques et pour prendre une décision éclairée.

Comparer les alternatives, les avantages et les complications possibles avant l’augmentation des seins

« APRÈS COMBIEN DE TEMPS PEUT-ON JUGER LE RÉSULTAT ? »

Après l’intervention, il faut certainement attendre six semaines pour juger d’un premier résultat. Le résultat (quasi) définitif sera visible six mois après l’augmentation mammaire.

Bien que les complications soient rares, elles peuvent survenir. Les risques les plus importants comprennent :

  • Hématome ou œdème : Ces problèmes peuvent se former dans la zone d’implantation. En cas de persistance d’un hématome ou d’un œdème, une ponction peut être nécessaire, en prenant toutes les précautions pour ne pas endommager les prothèses mammaires.
  • Épanchement séreux : Il peut se produire sans infection. Dans ce cas, un drainage prolongé est requis.
  • Sensibilité du mamelon : Après l’intervention, une perte temporaire ou, au contraire, une sensibilité exacerbée du mamelon est courante. Dans de rares cas, cette sensibilité peut devenir permanente.

Une infection, la formation de coque (tissu cicatriciel dur autour de l’implant), la formation de plis ou de rides sur la peau, et des difficultés liées à la cicatrisation sont également à envisager.

Dans ces conditions, il est essentiel de suivre les recommandations médicales pour minimiser ces risques et assurer une récupération optimale.

Consentement éclairé avant l’augmentation des seins

Le consentement éclairé est un accord donné par le patient après avoir été informé des risques, des bénéfices et des alternatives d’une intervention, comme l’implantation de prothèses mammaires.

Pour établir que nos patientes ont été correctement informées dans le cadre du consentement éclairé, plusieurs étapes sont nécessaires. Le médecin doit expliquer clairement la procédure, les risques, les bénéfices et les alternatives possibles. Notre équipe veille à vous offrir l’opportunité de poser toutes vos questions, de sorte que vous puissiez obtenir des réponses satisfaisantes pour chacune.

Le chirurgien vous remettra un formulaire à signer après vos consultations et avant votre intervention. Il ne s’agit pas d’une décharge, mais d’un document dans lequel vous reconnaissez avoir été parfaitement informée du déroulement de la chirurgie et des risques liés à celle-ci. C’est aussi de cette façon que vous donnez votre accord pour l’implantation de vos prothèses mammaires.

Contrôles des prothèses mammaires

En outre, nous tenons à préciser que nos chirurgiens esthétiques utilisent exclusivement des prothèses mammaires sur lesquelles le fabricant applique une garantie de 10 ans (selon ses critères).

Le remplacement des prothèses mammaires après 10 ans est recommandé pour des raisons de sécurité et de santé. Avec le temps, celles-ci peuvent subir une usure naturelle et il est possible qu’elles commencent à se détériorer, augmentant alors le risque de fuites ou de ruptures.

Risques de formation de coque liés aux prothèses mammaires

Les prothèses mammaires sont conçues pour imiter l’apparence et la sensation des seins naturels. Cependant, le corps peut parfois considérer celles-ci comme des corps étrangers et réagir en formant une coque, ou capsule, tout autour.

Cette coque est constituée de tissu cicatriciel qui peut se durcir et contracter les prothèses mammaires et ainsi, entraîner une gêne et des douleurs. De plus, cette coque, ou contracture capsulaire, peut modifier l’apparence des seins, les rendant plus durs et changeant éventuellement leur forme.

Il est important de noter que toutes les prothèses mammaires ne présentent pas le même risque de formation de coque. C’est pourquoi il est essentiel de s’informer de manière détaillée sur les différents types d’implants mammaires avant de prendre une décision.

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Que faire en cas de formation de coque ?

Le traitement peut impliquer une intervention chirurgicale pour retirer la coque et effectuer un remplacement des prothèses mammaires. Cette opération peut entraîner des coûts supplémentaires.

Dans certains cas, la suppression de la coque peut permettre d’augmenter légèrement la taille des nouveaux implants, en raison de l’élargissement de la poche créée par la coque.

Si vous suspectez une formation de coque, il est important de consulter votre chirurgien. Il pourra évaluer la situation et discuter des options de traitement avec vous.

Risques de galactorrhée après une augmentation des seins

La galactorrhée est un écoulement laiteux des seins qui peut survenir après une augmentation mammaire. C’est un phénomène rare, surtout en l’absence de grossesse, d’allaitement ou de traitement hormonal.

Une étude récente a trouvé 8 cas de galactorrhée parmi 832 femmes ayant subi une augmentation des seins à l’aide de prothèses mammaires.

Dans tous les cas suivis par cette étude, l’écoulement a cessé au bout de huit semaines et tous les seins étaient souples un an après l’opération.

Quelles sont les causes de la galactorrhée ?

La prolactine, l’hormone responsable de la production de lait, est normalement sécrétée par l’hypophyse, elle-même contrôlée par l’hypothalamus. Elle peut être stimulée par l’irritation de la paroi thoracique, la stimulation du mamelon ou un stress psychologique.

Les interventions de chirurgie pour l’augmentation des seins, les brûlures, l’herpès et les traumatismes médullaires peuvent entraîner une hyperprolactinémie et une galactorrhée.

La voie d’insertion par l’aréole et le gonflement du thorax par la prothèse pourraient également stimuler la production de prolactine. Cependant, une étude récente n’a montré aucune anomalie de la sécrétion de prolactine chez 15 femmes, avant et après l’implantation des prothèses mammaires.

Comment traiter la galactorrhée ?

En cas de galactorrhée après une opération des seins, on cherche à éliminer les causes d’une trop grande production de prolactine.

Cette complication peut disparaître d’elle-même en 1 à 3 semaines chez certaines patientes. Dans d’autres cas, des galactocèles (kystes remplis de lait) peuvent se former et nécessiter un drainage.

Cela peut être dû à des problèmes rénaux, des tumeurs à l’hypophyse ou une hypothyroïdie. Si le taux de prolactine est trop élevé, une IRM peut être nécessaire. Si un kyste rempli de lait se forme, un médicament pour stopper la lactation peut alors aider à résoudre le problème.

Risques de séromes tardifs après la pose des prothèses mammaires

Le sérome tardif est une complication qui se caractérise par une augmentation anormale du volume de l’un des seins, rarement des deux, plus d’un an après l’opération.

Cette complication relativement rare touche environ 1% des cas.

Le sérome tardif peut être lié à plusieurs facteurs, dont un hématome tardif secondaire, une déchirure en cas de double capsule, une infection, une rupture de l’implant, un œdème ou une tumeur mammaire.

Des consultations gynécologiques régulières avec des échographies ou mammographies ponctuelles sont les meilleures solutions pour votre suivi !

Docteur JM O’Donoghue :

« Les séromes tardifs sont facteur d’anxiété chez beaucoup de patientes et posent un problème de diagnostic au chirurgien, parfois à l’origine de retard à la thérapeutique appropriée. »

Traitement en cas de sérome tardif

Dans la plupart des cas, la cause du sérome tardif est bénigne. Cela signifie qu’il n’y a pas de maladie grave ou de condition médicale sous-jacente provoquant cette complication tardive.

Dans ce type de situation, un simple drainage peut être suffisant pour traiter le sérome. Le drainage est une procédure médicale qui consiste à retirer l’excès de liquide du sein. Cette procédure est généralement réalisée en ambulatoire et ne nécessite pas d’hospitalisation.

Cependant, il existe des situations où une intervention chirurgicale peut être nécessaire pour traiter le sérome tardif. En cas de récidive, par exemple.

De même, si le sérome est associé à une infection, une rupture des implants mammaires ou une contracture capsulaire (formation d’une coque autour de l’implant), une intervention chirurgicale peut être nécessaire.

Poitrine : Tarifs

Augmentation mammaire avec prothèses micro texturées gel silicone cohésif de 200 cc à 600 cc 3300
TVAC
Remplacement d’implants mammaires 3300
TVAC
Réduction mammaire 3600 – 4950
TVAC
Lifting des seins (sans prothèses mammaires) 3600 – 4650
TVAC
Lifting des seins (avec prothèses mammaires) 5950 - 6950
TVAC
Formation de coques supplément de 950
TVAC

Des questions sur l'augmentation mammaire ?

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